Cifali : Démarche clinique dans l’enseignement, la formation et la recherche

parution des Cahiers de psychologie clinique n°41 dans lequel est publié un dossier intitulé « Clinique du négatif : enseignement et formation en tensions »

J’ai le plaisir de vous signaler la parution des Cahiers de psychologie clinique n°41 dans lequel est publié un dossier intitulé « Clinique du négatif : enseignement et formation en tensions » que nous avons coordonné Thomas Périlleux et moi-même. Ce numéro 41 peut être consulté sur le site Cairn à l’adresse suivante : http://www.cairn.info/revue-cahiers-de-psychologie-clinique-2013-2.htm, ainsi que mon article « Chemin de lucidité : un pessimisme questionné » à celle-ci : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=CPC_041_0155

Il s’agit de la publication de nos travaux du symposium REF qui s’est tenu en 2011 à Louvain-La-Neuve. C’est ainsi de la cinquième publication autour d’une démarche clinique dans l’enseignement, la formation et la recherche. J’en rappelle les précédents : - Cifali M., Giust-Desprairies F. (eds) (2006). De la clinique. Un engagement pour la formation et la recherche, Bruxelles, De Boeck. (Sur Cairn http://www.cairn.info/publications-de-Cifali-Mireille--5241.htm); - Cifali M., Giust-Desprairies F. (eds) (2008). Formation clinique et travail de la pensée, Bruxelles, De Boeck. (Sur Cairn http://www.cairn.info/publications-de-Cifali-Mireille--5241.htm); - Cifali M., Théberge M., Bourassa M. (2010). Cliniques actuelles de l’accompagnement, Paris, L’Harmattan. ; - Cifali M., Périlleux T. (eds) (2012). Les métiers de la relation malmenés. Répliques cliniques, Paris, L’Harmattan.
Je vous transmets quelques lignes de notre introduction :

« Dans plusieurs ouvrages récents (à titre d’exemples, Philips, 2009 ; Marion, 2010 ; Kaës, 2009 ; Rabinovitch, 2009), nous avions vu des psychanalystes, des philosophes, des anthropologues reprendre la question de la négativité, soulignant le potentiel destructeur de l’humain, de la société et de ses institutions, potentiel qui serait inéluctablement lié à sa capacité créatrice : il n’y aurait pas de création sans destruction. Permettre un rapport au monde, à soi et à l’autre qui soit de l’ordre de la création reviendrait donc à ne pas mésestimer ce qui fonctionne comme négativité. Des nouvelles dynamiques d’exploration seraient ainsi nécessaires pour se rendre attentif au travail du négatif, sous toutes ses formes, et y soutenir l’inépuisable désir de créer.»

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