RSE QVT Diversité Egalité

Texte de l'ANI du 19 juin 2013

"La compétitivité des entreprises passe notamment par leur capacité à investir et à placer leur confiance dans l’intelligence individuelle et collective pour une efficacité et une qualité du travail. Elle dépend aussi de leur aptitude à conjuguer performances individuelles et collectives dans le cadre du dialogue social. La qualité de vie au travail contribue à cette compétitivité". Donc Performance et Compétitivité sont liés directement à la qualité de vie au travail.

le site référence de l'anact

http://www.qualitedevieautravail.org

Face à ces nouvelles attentes , les DRH disposent de différentes propositions concrètes qui sont pour partie à même de répondre à ce nouveau besoin de mobilisation, que ce soit de la part des générations entrantes (la fameuse génération Y) ou bien les quinquas en besoin d'investissement personnel ou enfin les séniors qui ont à coeur de prouver ce qu'ils peuvent apporter comme valeur ajoutée au collectif...

Il s'agit de mettre à disposition des compétences de salariés de l'entreprise, sous forme de mise à disposition de personnel ou prêt de main d'œuvre, d'accompagnement dans le montage du projet, d'appui technique de courte ou longue durée…

    Les limites de la Responsabilité Sociale des Entreprises : Le green Washing

La Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) implique que les entreprises intègrent dans leurs activités les impacts sociaux, environnementaux et sociétaux. La prise en compte accrue des questions de développement durable incite les entreprises à s’intéresser à la RSE pour ne pas voir leur image entachée et perdre des parts de marché du fait d’un éventuel boycott. Le fait de respecter une démarche RSE peut même permettre d’attirer de nouveaux clients à la recherche de produite plus respectueux de l’environnement.

Dans une société vieillissante avec un système de santé très pointu qui permet aux personnes atteintes de pathologie grave de pouvoir se maintenir, un phénomène nouveau apparait. Il y aurait actuellement 9 millions de personnes "aidant" un proche, un voisin ou sous forme de bénévolat.

Cela implique pour le service RH et l'organisation qui faut en tenir compte car ces salariés sont fragilisés de par leur mobilisation hors temps de travail. Ils demandent d'ailleurs bien souvent de pouvoir travailler à 80 % ou 50 % et parfois doivent même cesser de travailler. En effet, comment faire face à une situation comme celle d'un enfant atteint d'un cancer, d'un parent atteint d'alzheimer, d'un proche accidenté qui perd pour quelques semaines ou mois son autonomie sans parler de la fin de vie d'un être cher.

Certaines grandes entreprises ont pris en compte dans la mise en place de l'évaluation à 360° des managers ce critère de prise en compte et d'écoute des collaborateurs aidants.