Dans l’enseignement, il n’est pas rare d’entendre au passage l’expression : " métier impossible ". Tout semble alors être dit : l’échec, le découragement, la désillusion, la souffrance, l’impuissance ... Aujourd’hui certains précisent : " ce métier rendu impossible ". ....
... entre un " rien n’est impossible " qui désigne notre toute puissance et un " rien n’est possible " qui signe notre impuissance, reste vraisemblablement un espace pour comprendre et agir.
CIFALI Metier impossible 1999.pdf 124,43 kB
A un moment où le flux de l’information ne cesse de grossir sur Internet mais aussi sur nos intranets et où nos messageries sont saturées, il s’agit d’imaginer des façons de communiquer répondant mieux à nos manières d’interagir collectivement.
Il s’agit donc de penser de façon radicalement différente la façon dont nous concevons des textes et des présentations.
Intervention de Bernard Donnadieu le 26 mai 2011 dans le cadre des journées de professionnalisation organisées par Eduter Ingénierie
Serge Pouts-Lajus, Observatoire des technologies pour l'éducation en Europe
Marielle Riché-Magnier, Commission européenne
Education et technologies.pdf 73,48 kB
Essai d’approche laïque de la relation maître-élève-savoir dans les spiritualités de l’Orient et de l’Occident. Cette recherche se propose de jeter des ponts entre deux champs séparés - voire opposés - celui de l'éducation laïque contemporaine, et celui des grandes traditions spirituelles orientales et occidentales
La relation éducative est ce lien de dépendance et d'influence réci-proque qui permet d'assurer la formation et le développement des êtres humains.
Filloux RE et autonomie du sujet.pdf 88,25 kB
On se souvient sans doute du débat encore récent concernant la question de la parité homme-femme dans la représentativité politique. Peut-être se souvient-on moins qu’à travers les arguments avancés contre cette parité, se dégageait le caractère inadmissible de toucher au principe universel de la République qui postule la citoyenneté une et indivisible. Comme le rappelait Julia Kristéva dans un article publié dans “ Le Monde ” sur ce sujet (23 Mars 1999), le principe universaliste descend en droite ligne de l’UN, unité de l’intellect et de l’être qui, depuis la métaphysique de Platon, a constitué le fondement de la citoyenneté et d’une citoyenneté universelle, comprise comme égalité des citoyens. L’enjeu du débat portait donc sur le sens de cette égalité : en incluant la reconnaissance de la différence n’allions-nous pas perdre, renier notre modèle universaliste ?